Juin 2020. C’est en marchant sur le bord de la rivière qui longe la route près de chez moi que j’ai eu l’idée de ce projet. Il est apparu de façon tout à fait imprévue et m’a foudroyé : un blogue et un balado qui regroupent mes différents intérêts, passions, préoccupations et forces. J’ai tout de suite senti qu’il fallait que je le mette au monde, c’était viscéral.
Au bout de soi est en quelque sorte la réponse à une série de questionnements, de réflexions et d’apprentissages amorcés depuis au moins quatre ans. Mais en y pensant bien, c’est peut-être le fruit de mon parcours qui m’amène maintenant à me livrer publiquement.
D’abord pour laisser une trace, ma trace, à mes trois merveilleuses filles : Juliette, Rosalie et Béatrice. Parce que sous ce projet se cache une peur, la peur de mourir jeune qui m’habite depuis toujours. C’est d’ailleurs le sujet de mon premier article de blogue et de balado.
Ce projet me permet donc de transmettre à mes filles mes apprentissages de vie et augmente mes chances de les outiller suffisamment pour naviguer dans la vie.
Si j’ai choisi de le partager également avec vous, c’est parce que j’ai l’intime conviction qu’en partageant nos réflexions, nos expériences de vie, nos bonheurs, nos épreuves, nos victoires et nos échecs, on peut s’inspirer et s’aider à mieux vivre les uns les autres.
Et si Au bout de soi nous permettait de développer ensemble une communauté d’inspiration et de partage? Tu te joins à moi, à nous?